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COMBAT

15 janvier 2013

De l'homosexualité

Un être qui naît avec 6 orteils est une aberration physique, car il s'éloigne de la constitution saine et normale d'un être humain. De même, l'homosexualité est une aberration sexuelle et psychique, car ce genre de relation n'est pas ce qui est prévu dans l'ordre des choses. La femme est faite pour l'homme, et inversement. Leur union, physique et spirituelle, est fertile. Elle fonde la cellule sociale primordiale qui est la famille.

Ni l'une, ni l'autre de ces particularités ne sont à dénigrer, elles existent, c'est tout. Néanmoins ni l'une, ni l'autre ne saurait  être un motif de fierté, et cela même si l'individu en question, étant particulièrement creux, ne possèderait rien d'autre dont il puisse se prévaloir.

Une telle attitude conduirait évidemment au plus grand ridicule et serait même un indice de stupidité.

De là, l'abjection perverse de cette monstrueuse parade censée symboliser la fierté d'être homosexuel, c'est à dire d'être anormal.

Etre normal ne donne lieu a aucune fierté et il faut être singulièrement dérangé pour se prétendre fier d'être anormal. Cela est encore plus odieux quand ce qui est anormal souhaite être considéré comme normal par un processus obscurantiste de négation des repères en cherchant à créer un monde où tout est flou et où l'on ne discerne plus rien comme dans un délire psychédélique.

Certains diront que l'homosexualité existe dans la nature. Je suis navré que ces gens se considèrent comme des bonobos.

L'homme est doué de pensée (normalement...), il se conduit donc d'après la raison, qui permet de discerner ce qui est conforme à l'ordre des choses et au bon sens. Faculté que ne possède pas le bonobo.

L'homosexualité est une chose aberrante, mais l'aberration va plus loin quand il est question de "mariage homosexuel".

Le mariage, qui est l'union fertile de l'homme et de la femme, est évidemment fondé sur l'hétérosexualité.

Tout questionnement sur un "mariage homosexuel" ne peut être qu'une niaiserie. Niaiserie pourtant extrêmement dangereuse en ce qu'elle pervertie encore davantage les repères et les valeurs. Niaiserie qui sème la confusion et le chaos, qui sont les alliés de l'esclavage de l'esprit.

 

 

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27 décembre 2012

La mort pout les victimes, pas pour les bourreaux

Robert Badinter, juif né le 30 mars 1928, est un avocat, essayiste et homme politique.

Président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995, il est principalement connu pour son combat contre la peine de mort dont il obtient l'abolition en France le 9 octobre 1981, et en tant que garde de sceaux, pour la suppression de dispositions légales pénalisant les relations homosexuelles avec un mineur pour des âges où les relations hétérosexuelles étaient légales.

Ce sinistre individu, dans le cadre de sa lutte contre la peine capitale, défendra et évitera la peine de mort entre autres à :

  • Michel Bodin, en 1977 coupable de l'assassinat d'un retraité (sans torture).
  • Mohamed Yahiaoui, en 1978, coupable du meurtre d'un couple de boulangers.
  • Michel Rousseau, en 1978, coupable du meurtre d'une enfant de sept ans alors qu'il était ivre.
  • Jean Portais, en 1979, septuagénaire déjà condamné deux fois aux assises pour d'autres faits, coupable du meurtre d'une femme lors du braquage d'une bijouterie, puis du meurtre d'un brigadier de gendarmerie peu après lors d'une interpellation.
  • Norbert Garceau, en 1980, coupable (récidiviste) du meurtre d'une jeune femme.

 

Ces gens qui vous ont tué et volé, vous les entretenez à présent grâce à vos impôts. Vous les logez, les nourrissez, et participez à leur réinsertion, tant il est vrai que de tels individus manque grandement à notre société.

Pour M. Badinter, peu importe que vos enfants, vos parents ou vous-même soyez tués par ces criminels dont il se fait complice. L'important est que ces assassins soient protégés, défendus et reçoivent toutes l'aide possible. Aide que n'ont sûrement pas reçu leurs victimes lorsqu'elles se sont faites poignardées.

Et pour les nazis, M. Badinter, qu'auriez-vous préconisé?

Après tout, il n'ont fait que tuer, comme ceux que vous avez défendu.

6 janvier 2012

De la France

 

La France ne retrouvera jamais son équilibre ni sa santé tant qu'elle ne retrouvera pas les valeurs qui sont les siennes depuis son origine.

Il faut vouloir être français! Il faut aimer être français!

Il faut se détacher des influences néfastes, anglo-saxonnes, maghrébines et d'autres, qui corrompent et avilissent le génie français. Il faut nous retrouver.

Il faut retourner à la source, retrouver nos fondations spirituelles pour donner à la civilisation sa nouvelle architecture. La France doit poursuivre son Destin. Il commença avec Clovis, grandit avec le christianisme, s'affermit par les Cathédrales et l'épopée des rois de France. Le dernier jalon, nous le savons, fut le général de Gaulle. La flamme doit continuer à vivre. La France doit assumer sa vocation. Les princes de l'esprit ont fort à faire, mais l'ardeur ne manque pas et la lumière est toujours là, prête à jaillir. Elle est toujours en l'homme depuis Sumer, en passant par l'Egypte, la Grèce, L'Europe. Nous sommes les héritiers d'une Grande Tradition, celle de l'Homme. Qui est aussi celle de Dieu, quelque soit la conception transcendante sous laquelle Il nous apparaît, religieuse, artistique ou philosophique.

Retroussons nos manches, l'ouvrage ne manque pas! Et bâtissons sans craindre la fatigue!

6 janvier 2012

L'argent

 

La civilisation a été ruinée par la matière.

Les choses de l'esprit, qui forgent l'Homme et la société harmonieuse, ont été dégradées et passent désormais au second plan, si tant est qu'elles jouent encore un rôle véritable dans la vie des êtres humains.

C'est pourtant bien cela qui les détermine. S'ils partagent une base biologique avec les animaux, celle-ci n'est qu'un support.

Le corps pour un homme digne de ce nom, être pensant et évolué, n'est jamais qu'un outil, un instrument qui permet à l'esprit d'interagir avec le réel. La vie de l'homme en elle-même est spirituelle, l'homme réside en lui-même et non à l'extérieur. Se vouer au corps, vivre par lui, n'est pas d'un homme. Car celui qui agit ainsi ne vit pas son humanité, ne se réalise pas, n'existe pas.

C'est pourtant le cas de beaucoup de nos contemporains, qui ont peur voire honte de vivre par l'esprit tellement il a été dit et répété par la propagande médiatique que la seule existence intéressante était matérielle.

Ainsi chacun vit des choses qui passent, préoccupé uniquement de l'apparence, de la rumeur et du regard d'autrui. Nulle vie n'éclaire leur prunelle, nulle intelligence n'illumine leur regard resté terne et vitulin.

L'industrie, l'économie, voila ce qui pour eux fait le monde et ils se pensent très intelligent de comprendre cela. L'individu un peu plus évolué voit pourtant nettement qu'au contraire c'est de là que vint la chute. Une nation qui ne se soucie plus que de son économie en délaissant sa vocation spirituelle et comme un homme qui au lieu de vivre perd son temps à faire de l'argent, qui au lieu de gagner sa vie pour vivre, vit pour gagner sa vie selon la formule bien connue.

Que les choses soient dites, celui qui vit pour l'argent est un minable et un raté. Sa vie en elle même est un échec mais, pire que cela, il abîme le monde et sa conscience. Il tend à dégrader les hommes qui l'entourent par ses conceptions nocives et  l'inversion des valeurs qu'il propage. Et cela pour tenter de convaincre autrui qu'il est grand alors qu'il est tout petit, qu'il est fort alors qu'il et faible et chétif, qu'il est intelligent alors qu'il est incapable d'assumer sa condition, préférant la ravaler au niveau de la bête sophistiquée faute de construction intellectuelle et morale. Il contribue ainsi à la déchéance de la société et de l'Homme, c'est un crime infiniment grave. A proprement parlé un crime contre l'humanité.

C'est contre cela qu'il faut lutter. La supercherie doit être mise à jour, le fraudeur raillé et ridiculisé. Son exemple et sa réputation flétris. Il faut que les valeurs qui font l'homme redeviennent les lois de construction du système humain.

Tout est possible tant que l'homme garde à l'esprit l’exemple de ceux qui furent vraiment hommes, qui ont conçu, mis en œuvre et réalisé leur pensée. Pour eux-mêmes et pour leurs frères. Et dont le nom ne mourra jamais.

Le reste n'est que poussière volant au vent. 

29 décembre 2011

De l'immigration

 

J'ai des voisins, ils sont très gentils. J'ai toujours eu de bons rapports avec eux.

Mais il est évident que s’ils venaient à se présenter chez moi à l'improviste, je finirai par les trouver embêtants. Et que s'ils venaient chez moi et se mettaient à changer les tapis, repeindre les murs et abattre les cloisons... Je les attraperai par la peau du dos et les flanquerai dehors à grands coups de pied aux fesses. 

Tout cela paraît évident.

Alors pourquoi les français acceptent-ils que leur beau pays soit envahi et leur culture abâtardie?

A quoi cela a-t-il servit que Charles Martel au VIIIème siècle ait bouté les envahisseurs hors du pays puisque maintenant ils entrent comme chez eux, bâtissent des mosquées et demandent des rayons halal dans les supermarchés.

Ici, c'est la France. Notre culture s'étend de Platon à De Gaulle, en passant par Du Bellay, les cathédrales, Rabelais, Chateaubriand, Clemenceau... et j'en passe... Notre culture est immense, profonde, raffinée et correspond à notre sol, notre climat, nos paysages. Nous aimons notre pays et nous aimons aussi ceux qui nous sont proches. Shakespeare, Goethe, Beethoven, Bach, Cervantès, Léonard de Vinci.

Mais quelle parenté avons-nous avec l'Islam et sa culture. C'est certainement une religion très bonne, elles le sont toutes puisqu'elles ont toutes le même objectif spirituel. Mais chez nous, ces concepts ont été exprimés par le christianisme. Or le mélange des religions et des cultures n'aboutit qu'à un nivellement vers le bas. Une perte d'identité qui est une mort spirituelle. C'est ce dont souffre l'Occident.

Je veux une France française. Je ne veux plus voir ma nation insultée par des minables portant des casquettes, des pantalons trop grands et des chaines en or. Et qui en plus se prennent pour des hommes parce qu'ils ont passé un séjour en prison. Ce genre de choses devrait être puni. Et l'étranger qui insulte le pays qui l'accueille, être renvoyé dans celui d'où il vient. Il ne suffit pas d'avoir une carte d'identité française pour être français. Le cœur et l'esprit doivent l'être aussi.

Soyez fier d'être français! Et refusez l'invasion insidieuse! Ou la France n'y survivra pas.

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29 décembre 2011

De la peine de mort

 

Pour ou contre la peine capitale?

Quelle étrange question...

Quand des hommes se sont assemblés pour vivre ensemble en respectant des lois visant à harmoniser leurs rapports et qu'un individu, méprisant ces lois qui structurent l'édifice social pour lui permettre de se déployer, se retourne contre ses semblables, que faire?

La question se pose-t-elle encore quand un soldat ennemi attaque un des nôtres? L'ennemi sera tué car c'est lui ou nous. Or quelle différence avec notre sujet si ce n'est que l'individu criminel n'est pas d'une nation étrangère mais simplement déterminé à nuire. Il devient alors un ennemi de la société, de la nation. Comme l'est le soldat ennemi. Il devient si l'on peut dire un soldat du crime. Alors que décider entre tuer le criminel ou être tué par lui? La question est absurde, la réponse est évidente. C'est une loi naturelle. L'homme qui se conduit en prédateur, en tueur doit être mis à mort, pour le bien de chacun, pour la survie de la société.

Il s'attaque non seulement aux humains mais aux lois qui les unissent, il est donc doublement criminel.

Quelle société stupide qui au lieu de faire son devoir, donne un toit au criminel, le nourrit, aux frais des citoyens.

Je vous demande simplement un peu de bon sens. La peine capitale est une nécessité évidente et naturelle.

Se pose-t-on la question de savoir si 2 et 2 font 4? Non, c'est évident et naturel. Je ne crois pas que ce genre de question idiote puisse donner lieu à débat. Sans la peine de mort la société se corrompt et se détruit.

13 décembre 2011

Du désordre

 

On ne nous fera jamais croire que la femme est l'égale de l'homme. Par nature, elle lui est inférieure. Et toutes les époques le prouvent. Une époque où la femme peut prétendre à l'égalité avec l'homme est évidemment une époque décadente, désertée par la pensée et la vitalité.

La femme ne peut se hisser au niveau de l'homme, c'est pourquoi il a été entrepris une opération de propagande extrêmement violente et pernicieuse où l'homme et toutes les qualités viriles ont été systématiquement dégradés. Ainsi, l'homme ravalé à un rang inférieur, ayant été interdit par la culture médiatique et la loi de prétendre à son statut naturel et de réaliser sa vocation psychique, on veut nous faire croire que la femme est devenue son égale. Mensonges!

Le résultat est une époque sans génie, sans pensée, sans talent, où règnent le chaos et la folie. Sans la force directrice et structurante qui est l'apanage innée de l'homme rien de durable, de bon ou de sain ne peut s'établir. Et la société ne peut connaître la paix spirituelle. L'homme véritable seul possède la structure psychique qui permet l'harmonie et la vie. Sans les valeurs viriles, la civilisation est vouée à la destruction.

Il faut des forts, des grands, des sages. Un élan vers le ciel, un désir puissant de bâtir et de défendre l'œuvre ainsi érigée.

Une œuvre fondée sur l'Ordre primordial de la Nature, que seul l'Homme peut aborder. Car lui seul a l'esprit suffisamment sûr et audacieux pour entreprendre la conquête du monde supérieur. Celui de la Connaissance et des symboles. La femme, vouée à la matière et ne disposant pas des aptitudes psychiques nécessaires à une telle entreprise, ne peut y parvenir. Son rôle est tout autre.

N'oubliez pas que le monde a été bâti bien avant vous et selon une conception immuable. Bâtir une société qui ne respecte pas cet ordre, qui est le seul possible, c'est bâtir sur des sables mouvants. La société actuelle s'engouffre dans son anéantissement et l'être humain, l'être pensant et digne, avec elle.

Un maçon ne construit pas autrement qu'en respectant les lois physiques de la Nature. De même, une civilisation ne peut se passer des lois psychiques qui en découlent. 

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